Наши колыбельные
музыка"Обычно я рассказываю сказки, приплетая кучу своих деталей, но иногда и пою на ночь. Иногда. И как-то так повелось, что на французском: или классические детские песенки французские, или просто Милен Фармер. В связи с Федиными интересами давно добавились "The wheels on the bus go round and round..." и "Daddy finger, daddy finger, where are you?" Собираюсь дополнить репертуар.
Savez-vous comment ?
Quand elle est bien faite
Avec du beurre dedans
Tralalala lalala lalère
Tralalala lalala lala
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond.
Les beaux messieurs font comme ça,
Et puis encore comme ça.
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond.
Les belles dames font comme ça,
Et puis encore comme ça.
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond.
Les cordonniers font comme ça,
Et puis encore comme ça.
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond.
Les blanchisseuses font comme ça,
Et puis encore comme ça.
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond.
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, on y danse,
Sur le pont d'Avignon,
On y danse, tous en rond…
A pris sa volée
Mon petit oiseau
A pris sa volée
A pris sa, à la volette
A pris sa, à la volette
A pris sa volée
Est allé se mettre
Sur un oranger
Est allé se mettre
Sur un oranger
Sur un or, à la volette
Sur un or, à la volette
Sur un oranger
La branche était sèche
Elle s'est cassée
La branche était sèche
Elle s'est cassée
Elle s'est, à la volette
Elle s'est, à la volette
Elle s'est cassée
Mon petit oiseau
Où t'es-tu blessé ?
Mon petit oiseau
Où t'es-tu blessé ?
Où t'es-tu, à la volette
Où t'es-tu, à la volette
Où t'es-tu blessé ?
Me suis cassé l'aile
Et tordu le pied
Me suis cassé l'aile
Et tordu le pied
Et tordu, à la volette
Et tordu, à la volette
Et tordu le pied
Mon petit oiseau,
Veux-tu te soigner ?
Mon petit oiseau,
Veux-tu te soigner ?
Veux-tu te, à la volette
Veux-tu te, à la volette
Veux-tu te soigner ?
Je veux me soigner
Et me marier
Je veux me soigner
Et me marier
Et me ma, à la volette
Et me ma, à la volette
Et me marier
Me marier bien vite
Sur un oranger
Me marier bien vite
Sur un oranger
Sur un or, à la volette
Sur un or, à la volette
Sur un oranger
Au clair de la lune, mon ami Pierrot,
Prête-moi ta plume, pour écrire un mot. (*)
Ma chandelle est morte, je n'ai plus de feu.
Ouvre-moi ta porte, pour l'amour de Dieu.
Au clair de la lune, Pierrot répondit :
« Je n'ai pas de plume, je suis dans mon lit.
Va chez la voisine, je crois qu'elle y est,
Car dans sa cuisine, on bat le briquet. »
Au clair de la lune, s'en fut Arlequin
Frapper chez la brune. Elle répond soudain :
« Qui frappe de la sorte ? Il dit à son tour :
- Ouvrez votre porte, pour le Dieu d'Amour ! »
Au clair de la lune, on n'y voit qu'un peu.
On chercha la plume, on chercha du feu.
En cherchant d'la sorte, je n'sais c'qu'on trouva.
Mais je sais qu'la porte sur eux se ferma.
Musique généralement attribuée à Jean-Baptiste Lully (1632-1687)
(*) la version originale disait « Prête-moi ta lume », c'est-à-dire « ta lumière » en vieux français. Au fil du temps, la plume a remplacé la lume.
"Frère Jacques"
Frère Jacques
Frère Jacques
Dormez-vous ?
Dormez-vous ?
Sonnez-les matines
Sonnez-les matines
Dig, ding, dong!
Dig, ding, dong!
Loin très loin du monde
Où rien ne meurt jamais
J'ai fait ce long
Ce doux voyage
Nos âmes se confondent
Aux neiges éternelles
L'amour cachait
Son vrai visage
Oh viens ne sois plus sage
Après tout qu'importe
Je sais la menace
Des amours mortes
Gardons l'innocence
Et l'insouciance
De nos jeux d'antan
Troublants
N'aie pas de regrets
Fais moi confiance et pense
A tous les no way
L'indifférence des sens
N'aie pas de regrets
Fais la promesse tu sais que
L'hiver et l'automne n'ont pu s'aimer
Debout la tête ivre
Des rêves suspendus
Je bois à nos amours infirmes
Au vent que je devine
Nos lèvres éperdues
S'offrent des noces clandestines
N'ouvre pas la porte
Tu sais le piège
De tous les remords
De l'anathème
Je me fous des saisons
Viens je t'emmène
Là où dorment ceux qui s'aiment
Regrets - en duo avec Jean-Louis Murat (1991)
Paroles: Mylène Farmer
Editeur: Requiem Publishing
Extrait de l'album L'autre (1991)
Спасибо
За меня и за мою семью
Спасибо
Этот голос улетает в небо
В небо
За эти слезы, чистые, как снег
Спасибо
За миллиарды человек
Спасибо
Этот голос улетает в небо
В небо
Сегодня был неважный день
Завтра будет хороший
Спасибо
Спасибо
Спасибо
There's a lady who's sure |
I thought so long and suddenly I realised / I love love
Am I loving the girl / or the feeling I feel?
Is it just the idea that I like / or is it for real?
I recall a special friend, I invited her home for tea
And while my mother cooked a meal she was under the table with me
I thought so long and suddenly I realised / I love love
I thought so long and suddenly I realised / I love love
These ideas that I have / remain fixed in my head
Only the characters change / it's someone else there instead
One day we went down to the park to feed the ducks some bread
Foul fowls wouldn't touch a scrap so we jumped in the duckpond instead
I thought so long and suddenly I realised / I love love
I thought so long and suddenly I realised / I love love
Lalalalala...
They make us look so dumb
Been drinking far too much
And neither of us mean what we say
[Chorus]
WELL YOU AND I
COLLAPSED IN LOVE
AND IT LOOKS LIKE WE MIGHT HAVE MADE IT, YES IT LOOKS LIKE WE'VE
MADE IT TO THE END
What happened to us
Soon it will be gone forever
Infatuated only with ourselves
And neither of us can think straight anymore